/ BOUQUINS / DISPARITION DU CHAT





Autrice: Camille Polet
Éditeur: éditions Le Sabot


Thèmes: collection du Seum (roman)

Date de sortie: mai 2023

Détail: 120 x 185 mm / 250 pages
ISBN: 978-2-492352-12-6


Prix: 13€



Disparition du chat - Camille Polet



Dans les années 1980, un groupe de cinq ami·e·s se passionne pour un physicien italien, disparu sans laisser de traces cinquante ans plus tôt. Entre insomnies, études, coups de fil aux parents, ils se croient à l’abri de leur époque, pourtant celle-ci les rattrape et la mort fait irruption dans les chambres à coucher. Il reste des lettres écrites à des disparu·e·s, il reste à vivre avec des fantômes.
Disparition du chat est un collage de journaux, de notes sur la physique quantique, de lettres, de mots laissés sur des coins de table qui consignent les regrets des vivants et les espoirs des morts, leurs amours infinies qui affrontent les époques, les âges et les rages.


~ l’autrice ~
Après cinéma, marre du cinéma, et CAP coiffure, amour de ce qui est mort, écrire des trucs pour dire ce que l'on ne sait pas dire à celleux qu'on aime. Plus tard on ne sait pas, ce qui arrive, et parfois les bobos, allô maman, et parfois.


       


« Elle a ri, comme une photo. Elle m’a dit qu’elle avait cette idée, depuis l’enfance, que lorsque les choses se précipitaient, c’est qu’il y avait un précipice. Alors, je lui ai pris la main, j’ai séché ses larmes, j’ai séché les larmes de mon amie, qui avait été une enfant et qui n’était pas beaucoup plus, et je lui ai dit non. »



Presse/Actualités


Librairie à soi.e, Lyon:
« Collage de journaux, notes, lettres et mots laissés qui consignent les regrets des vivants et les espoirs des morts. »


Fanny Quément, autrice et traductrice:
« Attention, beauté fatale :
Disparition du chat, premier roman de Camille Polet, aux éditions du Sabot. Je ne saurais mieux en parler que la quatrième (à lire ci-dessus).
Peut-être ajouterais-je simplement que parmi tout ce qui fait la beauté de ce livre il y a la beauté de ce que c’est, parfois, « nous », la beauté des « nous » qui se font et se défont. Et puis, en vrac : la petite vingtaine, le désir, un chat paillasson, les vies qu'on trie et les morts qu'on maquille, et l’usine. La forme-collage est soufflante, vraiment. »