/ BOUQUINS / Soirées solo
Auteur: Fabien Drouet
Éditeur: éditions Le Sabot
Collection du Zbeul (poésie narrative)
Date de sortie: décembre 2024
Détail: 120 x 185 mm / 96 pages
ISBN: 978-2-492352-16-4
Prix:
Éditeur: éditions Le Sabot
Collection du Zbeul (poésie narrative)
Date de sortie: décembre 2024
Détail: 120 x 185 mm / 96 pages
ISBN: 978-2-492352-16-4
Prix:
Soiées solo, Fabien Drouet
Soirées solo est un court recueil composé de plusieurs récits poétiques. On y entre comme on s’installe devant un spectacle de stand-up. Ça tombe bien parce que l’auteur fait des lectures en duo de sa première partie ("Tout démarrera par une énième soirée solo") avec Anaïs Soreil au violoncelle, quelquefois, dans des appartements, petits bars, petits théâtres, cabines téléphoniques et autres espaces intimes et festifs. Le narrateur nous plonge dans le quotidien triste des fêtes à répétition où la solitude transpire. Le comique éclate au visage comme un verre de punch qui s’explose par terre.
~ l’auteur ~
Auteur de poèmes et de nouvelles, musicien, vit à Lyon.
A trouvé en l’écriture et la lecture de formes courtes un médium vital d’impressions et d’expression.
Tente quelquefois d'honorer des CDD dans le secteur du nettoyage industriel.
Y parvient une fois sur quatre. Trouve ce ratio correct.
“Se contente de peu”, diront certains. “Quel panache !” répliqueront d'autres.
Aime écrire au stylo bic, noir si possible.
En juillet 2018, il lance un journal gratuit, 21 minutes (revue de poésie au sens large), qui est distribué dans les rues, aux arrêts de métro et dans les gares.
Parutions : Sortir d'ici, éditions les Etaques, 2019 ; Je soussigné, éditions la Boucherie littéraire, 2020 ; Suicides littéraires suivi de Festival aux éditions Gros Textes, juin 2022 ; Je serai jamais morte aux éditions des Lisières, octobre 2022.
« Tout démarrera par une énième soirée solo. J’ai préparé une super playlist. Du punch, bien traître comme on l’aime. Des drogues en tout genre et la déco. À 21h pile la soirée commence. Je discute, je m’offre un verre et en retour je m’offre une cigarette. La soirée commence bien. Je me mets à danser. À un moment je me propose un peu de cocaïne. Une fois n’est pas coutume, j’accepte. J’ai l’impression de mieux m’exprimer, de mieux danser. Je me dis « waouh ! tu danses vachement bien ! ». Je réponds « oui, je sais, je danse vachement bien ! ». J’apprécie ma franchise et me demande mon prénom. Mon prénom aussi me plaît. Décidément c’est une bien chouette soirée.
»